TRANSBORDEUR
Le Transbordeur est l’une des plus grosses salles de concert de Lyon. Elle est située à Villeurbanne, juste à côté du parc de la Tête d’Or. Elle peut accueillir plus de 1800 personnes debout, donc l’ambiance est souvent folle. La salle est bien équipée, avec un bon système de son et des jeux de lumière pros.
Ce n’est pas une salle immense comme une aréna, mais c’est assez grand pour sentir l’énergie du public et rester proche des artistes. On voit bien la scène, peu importe où on se place. Il y a aussi un balcon au-dessus, pour ceux qui préfèrent rester tranquilles. Le lieu est assez simple mais bien pensé.
ST GRAAL & THEA
Théa (BREAK), c’est une jeune chanteuse qui monte en ce moment. Elle fait un mélange de rock, de pop et un peu d’électro. Sur scène, elle envoie une énergie de dingue. Elle a une vraie présence, une voix grave qui prend toute la salle. Elle parle peu mais elle dégage beaucoup.
St Graal, c’est un chanteur au style plus doux, plus posé, mais très intense. Il mélange chanson française, pop et un peu de spoken word. Sur scène, il crée une vraie connexion avec le public. Il est simple, proche, très humain. Et sa voix est super touchante.
ST GRAAL
Le concert de St Graal au Transbordeur était un moment unique. C’était mon premier concert de lui, et j’ai été pris par l’ambiance dès la première chanson. Il a commencé doucement, avec un morceau calme, presque en spoken word. Tout le monde écoutait en silence, capté par sa voix. Et puis d’un coup, les musiques se sont enchaînées, plus rythmées, plus intenses. Les gens ont commencé à sauter, à crier, à chanter. L’ambiance est montée en flèche.
Sur scène, il y avait un énorme cœur gonflable rouge éclairée de l’intérieur. C’était simple, mais ça apportait une vraie identité visuelle au concert. À un moment, il est descendu de scène, j’ai pu lui toucher la main, et même chanter avec lui. Franchement, c’est rare de vivre ça.
J’ai été marqué par la gestion de la lumière. Elle suivait parfaitement le rythme des chansons. Quand c’était calme, c’était tamisé, presque intime. Quand ça bougeait, les flashs partaient dans tous les sens, en rythme avec le son. Le son aussi était bien mixé.
On entendait bien sa voix, les instrus, rien n’était saturé. Ça montre le travail derrière : une équipe technique au top. En sortant, j’étais encore dans l’ambiance. C’est pas juste un concert, c’est une vraie expérience visuelle et sonore. Et en tant qu’étudiant MMI, ça m’inspire vraiment.
THÉA
Le concert de Théa, c’était un autre niveau. Dès qu’elle est montée sur scène, on a senti que ça allait bouger. Elle n’a pas perdu une seconde, elle a balancé les premières notes de guitare, et la foule s’est enflammée. Contrairement à St Graal, là c’était plus rock, plus brut. Les gens sautaient partout dès la deuxième chanson. Il y avait une énergie folle dans la salle.
Ce qui m’a le plus marqué, c’est le show lumière.
C’était incroyable. Les spots changeaient de couleurs à chaque refrain, les stroboscopes suivaient les battements de batterie, et les jeux de lumière remplissaient toute la salle. On aurait dit un vrai show à l’américaine. Elle avait aussi des écrans derrière elle qui affichaient des visuels en rythme avec les morceaux. Franchement, pour une petite tournée, c’est hyper pro.
Et ce n’est pas tout. J’ai eu la chance d’être collé à la scène. À un moment, elle est venue chanter devant moi, j’ai pu la toucher, lui tenir la main une seconde. Et encore plus fou : elle a balancé son médiator dans le public, et je l’ai attrapé ! C’est celui avec lequel elle a joué pendant tout le concert. Je vais le garder précieusement.
Côté MMI, j’ai trouvé ça super inspirant. Les visuels, les lumières, la gestion du rythme visuel et sonore… tout était parfaitement synchronisé. On voit bien que derrière, y’a une vraie direction artistique. Le son aussi était hyper bien géré. Aucun larsen, une voix propre, claire. C’est ce genre de concert qui te donne envie de bosser dans l’événementiel, la lumière ou le son en MMI. Tout était vivant. Et tellement bien pensé.
